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Actualités de la poésie française

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[notes sur la création] Jean Starobinski


2013-03-20 09:58:06
[Jean Starobinski évoque ici les lectures poétiques à haute voix de Paul Celan] « L’ayant écouté lire ses poèmes, j’ai noté hâtivement : [...] Toute sécurité retirée. Respirant par la grâce de l’irrespirable. Pourtant le tracé acéré, la mélodie envoûtante des syllabes, la distribution souveraine des timbres et des accents [...] ? Loi des balancements fluides, des symétries, des oppositions : rigoureuse comme la géométrie du cristal [...]. Même quand la parole ne peut plus habiter le monde, ni le poète habiter sa parole. Le poème est impérieusement vocal [...]. Pureté de la syllabe vibrante, sans défense, exposée à l’énorme...


[notes sur la création] Jean Starobinski


2013-03-20 09:58:06
[Jean Starobinski évoque ici les lectures poétiques à haute voix de Paul Celan] « L’ayant écouté lire ses poèmes, j’ai noté hâtivement : Ni la bouche qui gouverne les mots, ni les mots dictés par les dieux sûrs. Toute sécurité retirée. Respirant par la grâce de l’irrespirable. Pourtant le tracé acéré, la mélodie envoûtante des syllabes, la distribution souveraine des timbres et des accents. Cette mélodie est-elle vestige d’anciennes harmonies ; battement, dans la mémoire, de l’écho d’un monde où la parole était souveraine ? Ou bien est-elle, cette mélodie, la loi toujours en éveil, la forme inéluctable de l’énergie...


[Entretiens] Yves di Manno, avec Matthieu Gosztola, 1


2013-03-20 09:56:19
Une autre version du monde (première partie) Entretien d’Yves di Manno avec Matthieu Gosztola Matthieu Gosztola : Étang date de 1990. Cet ensemble de poèmes a été inséré dans Partitions paru cinq ans plus tard. Vous le republiez dans Un Pré, chemin vers en 2003, avec quelques modifications qui en font une publication nouvelle. Comme s'il avait fallu treize ans pour que ces poèmes trouvent leur véritable origine. Pouvez-vous revenir en détail sur quelques-uns de ces changements ? Pourquoi, par exemple, avoir transformé « Dans la demeure / De notre propre / Effacement » en « Dans la demeure /...


[Feuilleton] « Gradubidus » de Françoise Biger, 11/15


2013-03-20 09:44:36
Marquetise Envahissement par les marques commercialement réputées, de l’espace sémantique, puis comportemental, puis mental pour bien finir. Ericsonné à la bourre ce matin, tgv je macdonalde mon kellogs tout debout. Loréalé, giletté de près, niké à quatre épingles, je toyote fissa le bouygues suburbain à fond la caisse direction mon espace bureausine open space pour journée continue quasi. Trop fissa d’ailleurs, rapport la bourre et qui dit fissa, dit consomma : voyant au rouge, horizon panne sèche. Clignotant, je bifurque faire un total ras bord, mastercarde la douloureuse et rebouygues à donf ouf ! Car depuis un quart d’heure me...


[anthologie permanente] Daniel Falb


2013-03-20 09:35:36
STAINED SUSTAINED I : nouvelles natures mortes (first) l’application de reflets lumineux impliquait apparemment un travail sur les couches supérieures qui durcissaient vite. une nature morte de marchandises périssables s’obtenait donc par un blocage soudain du mouvement, et par là de tout le domaine-source. en même temps chaque ami avait sa propre fenêtre temporelle par laquelle on pouvait visionner comment il s’habillait. la position de sa classe comme tâche de notre management. que dans toute notre vie nous n’aurions plus l’occasion de voir une pomme trop mûre. examinons la structure nuageuse du fond que nous considérions comme un substrat sur...


[poètes] Daniel Falb


2013-03-20 09:31:59
Daniel Falb est un poète allemand né en 1977 à Kassel (ville de la plus grande exposition internationale d’art contemporain), il habite à Berlin. A étudié la physique et la philosophie. Ses publications sont liées aux récentes éditions Kook dont les livres ont de jolies couvertures au design multicolore conçues par de jeunes graphistes postmodernes. Daniel Falb est aussi parfois actif dans la blogosphère littéraire avec d’autres poètes de sa génération comme Monika Rinck ou Ann Cotten. Sa poésie produit des fragments de flux de conscience désincarnée dont la transe fascinée par la complexité de l’hypercontemporain n’empêche pas une composante...


[poètes] Daniel Falb


2013-03-20 09:31:59
Daniel Falb est un poète allemand né en 1977 à Kassel (ville de la plus grande exposition internationale d’art contemporain), il habite à Berlin. A étudié la physique et la philosophie. Ses publications sont liées aux récentes éditions Kook dont les livres ont de jolies couvertures au design multicolore conçues par de jeunes graphistes postmodernes. Daniel Falb est aussi parfois actif dans la blogosphère littéraire avec d’autres poètes de sa génération comme Monika Rinck ou Ann Cotten. Sa poésie produit des fragments de flux de conscience désincarnée dont la transe fascinée par la complexité de l’hypercontemporain n’empêche pas une composante...


Les Enfances Chino de Christian Prigent (2)


2013-03-20 00:00:00
  Le renouveau Prigent            J’imagine ( ?) la naissance de ton livre : — Monsieur Prigent, parlez-nous de Goya, voulez-vous bien ? — Oui oui oui, c&rsquo...


[notes sur la création] Georges-Arthur Goldschmidt


2013-03-19 09:41:42
« Tous les écrits n’ont peut-être jamais cessé de tenter de capter l’insaisissable, l’irréductibilité de la personne à la chose que Paul Valéry avait vue chez Goethe et qui alimente le fond de toute écriture et le sauve de l’idée des fins dernières. “Tout se ramasse en un point unique dont nous sentons qu’on pourrait se rapprocher de plus en plus quoiqu’il faille désespérer d’y atteindre. En ce point est quelque chose de simple, d’infiniment simple, de si extraordinairement simple que le philosophe n’a jamais réussi à le dire. Et c’est pourquoi il a parlé toute sa vie ” écrit...


Témoignage de Charles Reznikoff


2013-03-19 00:00:00
  « Certaines choses nous entourent… »       « La pure énonciation des faits expose – comme une source de lumière crue expose un objet au regard – et le po&egr...


Les Sonnets de Ted Berrigan


2013-03-19 00:00:00
    Nice to read you !   Nous devons à Martin Richet la traduction du livre de Ted Berrigan, The Sonnets, un livre qui est paru la première fois en 1964, à New York, alors que Berrigan avait trente ans. C&...


Témoignage de Charles Reznikoff


2013-03-19 00:00:00
  « Certaines choses nous entourent… »       « La pure énonciation des faits expose – comme une source de lumière crue expose un objet au regard – et le po&egr...


Revue Paysages écrits, parution du n


2013-03-18 14:26:44
Parution du numéro 13See it on Scoop.it, via Revues


[Feuilleton] « Gradubidus » de Françoise Biger, 10/15


2013-03-18 09:45:00
Inorexie ou quetutetournecomtuveux Quelle que soit la façon dont sont agencés les mots dans une phrase ou les syllabes dans les mots d’une phrase, le sens de la dite phrase, de même que la situation qu’elle évoque resteront invariables en définitive. Les banques attaquent les pays par la spéculation. Les banques par les pays attaquent la spéculation. Par les pays les la banque spéculation la attaquent. Attaquent les spéculation par la banque les pays. Banculation les quequent la pattapar. Les banculation quequent la patta ayspé. Parla quepa speculata tionys banquentles. Specuques banatta paylation parlaquent. Quescula lespays lespequent la parnattaba. La...


[notes sur la création] Paul Valéry


2013-03-18 09:38:48
« La poésie n’est que la littérature réduite à l’essentiel de son principe actif. On l’a purgée des idoles de toute espèce et des illusions réalistes ; de l’équivoque possible entre le langage de la « vérité » et le langage de la « création », etc. » Paul Valéry, Cahiers, T. VI, éditions fac-simile du CNRS, p. 564.


[notes sur la création] Paul Valéry


2013-03-18 09:38:48
« La poésie n’est que la littérature réduite à l’essentiel de son principe actif. On l’a purgée des idoles de toute espèce et des illusions réalistes ; de l’équivoque possible entre le langage de la « vérité » et le langage de la « création », etc. » Paul Valéry, Cahiers, T. VI, éditions fac-simile du CNRS, p. 564.


[anthologie permanente] Silvia Baron Supervielle


2013-03-18 09:34:34
Les éditions Arfuyen publient Sur le Fleuve, qui a reçu le Prix de Littérature Jean Arp. sortir d’ici afin que le temps dehors trouve asile dedans ○ la voix connaît un rythme qui la cherche et me tient à l’écart ○ l’heure d’attendre cesse lorsque le soir tombe le moment de partir cède quand le dernier reflux remporte les reflets rien ne ramènera le feu ni orages ni ténèbres de l’enfer au bord du sable ○ dans cette situation de langue jumelle dont les échos attrapent une insolite formule illisible à son silence suspendus ○ entre des jours et des...


Brigitte Gyr | dans


2013-03-18 07:00:00
Le rossignol s'éteint dans le champ de sable, plume rouge sur la page jaunie. L'écriture paie son tribut de sang séché. In au décousu de l'aile © éditions Jacques Brémond 1988, p.41 au cœur du désert une danse de sable écrase des corps d'oiseaux à vif leur sang se répand par le monde l'enflamme des pierres -disent-ils- des pierres pleurent dans la poussière In Parler nu © Lanskine 2012, p.19 Vingt ans séparent ces deux poèmes, l'écriture, ciselée telle un...


La chair du Cenote de John M. Bennett


2013-03-18 00:00:00
  Remercions une fois de plus Frédérique Guétat-Liviani de nous donner à lire un ouvrage des plus intéressants, La chair du Cenote de John M. Bennett, dans la collection La Motesta qu’elle anime à...


L'irréel du passé de Michel Falempin


2013-03-18 00:00:00
  La solitude de Michel Falempin       Cher Michel Falempin, j’ai bien reçu L’irréel du passé (quel beau titre !) et je vous remercie bien vivement de votre envoi. Je suis sensible au car...


Claire Malroux


2013-03-17 12:35:00
 La femme sans paroles regarde la pluiederrière le store baissé   Les feuillesbaîllonnent les grilles, obstruent la gorgeUn couloir s'était ouvert tout à l'heureparmi le murmure pressé des gouttes, commeune foulée d'animal au creux de l'oreilleLes mots à présent battent en retraitereplient leurs corolles   La soie du cielse déchire en un puzzle éclaté de flaques Il faudrait tout reprendre à la lumière du premier jourramasser ces éclats gelés sous l'asphalteréchauffer entre ses bras le dieu rompuOsiris ou Orphée La femme sans paroles, chaque musique la submergeL'accent du pays natal l'obsèdeL'ouïe la dévoreLorsqu'elle se penche sur le puits de la voixqu'espère-t-elle remonter de ce noiroù le caillou découpe des ondes de plus en plus lenteset sourdes ? Autour de ce no man's landdes forces sans étendards s'affrontentDéfaite ni victoire n'importentseulement la durée à franchir sans déshonneur Elle ne sait pas de berceuse pourenjoler la douleur ni de rime en acierpour la dompter   Elle l'use comme un tapisun fauteuil où choit le corps lassous la lampe, un oreiller avec des auréolesLa mélancolie est son viager  La femme sans paroles. - Le Castor Astral, 2006. - 102 pages.(extrait repris dans l'anthologie Couleurs femmes : poèmes de 57 femmes/ préface de Marie-Claire Bancquart,éd. Le Castor Astral / Le Nouvel Athanor,  2010)  Claire MalrouxNée en 1935. Parmi ses autres recueils : Entre nous et la lumière (éd. Rougerie, 1992, sous le nom de Claire Sara Roux) ; Soleil de jadis (éd. Le Castor Astral, 1998) ; Reverdir (éd. Rougerie, 2000) ; Suspens (éd. Le Castor Astral, 2001) ; Ni si lointain (éd. Le Castor Astral, 2004) ; Traces, sillons (éd. José Corti, 2009).Également traductrice, notamment des poètes Emily Dickinson, Wallace Stevens, Elizabeth Bishop et Derek Walcott (Prix Nobel de Littérature 1992).Un essai sur Emily Dickinson : Chambre avec vue sur l'éternité (Gallimard, 2005).


[Poezibao Hebdo] du samedi 16 mars 2013


2013-03-16 10:16:24
Rappel : agenda, liens, informations sont désormais publiés ici Pour recevoir les mises à jour quotidiennes dans sa boîte aux lettres, voir ici Dernières parutions sur le site : Reportage 'Le livre comme objet poétique', un reportage de Jean-René Lassalle Notes de lecture 'Nouveau fatrassier' de Jean-Pascal Dubost, par Antoine Emaz 'Thierry Bouchard', Cahier 18 du Temps qu'il fait, par Alain Paire Feuilleton Gradubidus de Françoise Biger, épisodes 4, 5, 6, 7, 8, 9 « Anthologie permanente » Philippe Jaccottet anthologie « notes sur la création » Elias Canetti Georges Didi-Huberman Livres reçus par Poezibao [Poezibao a reçu] du samedi...


[Poezibao a reçu] du samedi 16 mars 2013


2013-03-16 09:58:10
Cette rubrique suit l’actualité éditoriale et présente les derniers ouvrages reçus par Poezibao. •Thierry Bouchard, sous la direction de François Lallier et Christian Hubin, Cahier dix-Huit, éditions Le Temps qu’il fait, 2013, 30€ - lire la chronique d’Alain Paire. •Silvia Baron Supervielle, Sur le Fleuve, Prix de Littérature Jean Arp, Arfuyen, 2013, 160 p., 14€. •Émile Storck, Par les Fossés et les haies, traduit de l’alsacien par le Cercle Émile Storck et présenté par Jean-Paul Sorg, Prix du patrimoine Nathan Katz, Arfuyen, 2013, 206 p. 13€. •Ito Naga, NGC 224, Cheyne éditeur, 2013, 80 p., 16€. •Poèmes à dire, Une...


[notes sur la création] Georges Didi-Huberman


2013-03-16 09:26:21
« La question n’est plus tant de savoir ce que sont les formes – problème mal posé – que de reconnaître ce qu’elles font, en qualité de processus “percussifs” » Georges Didi-Huberman, in La Ressemblance informe ou le gai savoir selon Georges Bataille, Macula, 1995, p. 201 Cité par Michèle Finck, in Giacometti et les poètes « si tu veux voir, écoute », Hermann, 2012, p. 11


[notes sur la création] Elias Canetti


2013-03-15 10:09:50
'Au fond, je me méfie désormais de quiconque se prend pour un poète. Surtout de quelqu'un qui se prendrait pour tel tout en étant poète. Car alors il saurait que tout dépend uniquement des mots, et non de lui. Qu'a-t-il donc ajouté aux mots qui n'ait été autrefois, avant son intervention, plus extraordinaire et plus étrange ? Ses quelques jongleries, que pèsent-elles en regard de la splendeur des mots tels qu'ils sont, tels qu'il les trouva, tels qu'ils demeurent ? Il doit les remercier de le laisser les prendre dans sa main. Il doit avoir honte de ne jamais les...


[anthologie permanente] Philippe Jaccottet


2013-03-15 09:41:29
Les éditions Le Bruit du Temps publient Taches de soleil, ou d’ombre de Philippe Jaccottet, un « recueil composé de notes des années 1952-2005, qui n’avaient pas été retenues lors des choix précédemment opérés par Philippe Jaccottet [et qui] parachève la publication de ses cahiers et complète donc l’ensemble constitué par les trois volumes de La Semaison et celui des Observations et autres notes anciennes, tous parus aux Éditions Gallimard. 1995 L’eau du ciel, le soir. La coupe d’eau. Dans la saison froide. La nacre du soir tombé vite. Le soleil froid sur les pierres. (2 janvier) On oublie généralement,...


[Feuilleton]


2013-03-15 08:46:00
Gargouillasme Phrasé très répétitif, plus ou moins aérophagique s’apparentant à la ventriloquie, donnant l’impression auditive d’un accès de borborygmes. Les grands patrons qui font les grands groupes qui font les grandes fortunes qui font les grands patrons qui font les grandes ambitions qui font les grandes entreprises qui font les grandes rémunérations qui font les grandes fortunes qui font les grands patrons qui font les grands pouvoirs qui font les grandes entreprises qui font les grandes fortunes qui font les grands pouvoirs qui font les grandes ambitions qui font les grands patrons qui font les grands groupes qui font les...


Matthieu Baumier


2013-03-10 23:50:00

 

A l'instant,

 

Je cherchais le bris du temps

Et des embrasures de terre cuite

S'essayaient à la haute géométrie.

 

Voici venir l'aurore, l'angle de la nuit.

 

Les matins blancs de l'automne

S'échouent maintenant

Sur les rives désespérées

Et voici venir l'étang bleu, le matin

 

Je suis parti pour un long voyage

Caracolant à hauteur de voyelles

Et mes amis, morts, vivants

Aperçoivent une traîne de cheminements.

 

Cela s'est produit à l'instant :

j'ai vu venir la nuit, la ténébreuse,

et le sommeil du firmament.

 

 

Le silence des pierres : mystes / préface de Françoise Bonardel.

- éd. Le Nouvel Athanor, 2013. - 92 p.

 

 

Matthieu Baumier

Né en 1968. Parmi ses autres livres :

deux recueils de proses poétiques : Bâtiment désespoir (éd. Syllepse, 2003) ; L'épopée des fous (éd. Le Grand Souffle, 2006) ;

trois romans : Une matinée glaciale (éd. Pétrelle, 1998) ; Les apôtres du néant (éd. Flammarion, 2002) ; Le manuscrit Louise B. (éd. Les Belles Lettres, 2005) ;

cinq essais, parmi lesquels : L'anti-traité d'athéologie : le système Onfray mis à nu (éd. Presses de la Renaissance, 2005) ; La démocratie totalitaire : penser la modernité post-démocratique (éd. Presses de la Renaissance, 2007) ; Vincent de Paul (éd. Pygmalion / Flammarion, 2008) ;

cinq recueils de nouvelles, parmi lesquels : Les sourires de la faucheuse (éd. Éditinter, 2001) ; Les bibliothèques endormies (éd. A Contrario, 2004) ;

et une anthologie : Une anthologie de l'imaginaire (éd. Rafaël de Surtis, 2000).

Rédacteur en chef de la revue internet Recours au poème : http://www.recoursaupoeme.fr/




[Poezibao a reçu] du samedi 9 mars 2013


2013-03-09 10:05:51
Cette rubrique suit l’actualité éditoriale et présente les derniers ouvrages reçus par Poezibao. •Philippe Jaccottet, Taches de soleil, ou d’ombre, le Bruit du Temps, 2013, 192 p., 22€, en savoir plus •Christian Prigent, Les Enfances Chino, P.O.L., 2013 ; 576 pages, 23 €, en savoir plus •Denis Rigal, Terrestres, le Bruit du Temps, 2013, 112 p. 18€, en savoir plus •Ted Berrigan, les Sonnets, traduit de l’anglais (États-Unis) par Martin Richet, postface de Jacques Roubaud, Joca Seria, 2013, 110 p., 16€, en savoir plus •Béatrice Bonhomme, Aude Préta-de Beaufort et Jacques Moulin (éds), Dans le feuilletage de la terre, sur...


Le chant de ma soeur


2013-03-08 22:05:43
Auteur : Yannis Ritsos Traduit du grec par Anne Personnaz Préface de Bruno Doucey Parution : le 2 mai 2013 Le mot de l’éditeur : Avec le temps, ma joie à faire connaître Symphonie du printemps s’est révélée féconde et contagieuse. Un an après la publication de [...]


Le chant de ma sœur


2013-03-08 22:05:43
Auteur : Yannis Ritsos Traduit du grec par Anne Personnaz Préface de Bruno Doucey Parution : le 2 mai 2013 Le mot de l’éditeur : Avec le temps, ma joie à faire connaître Symphonie du printemps s’est révélée féconde et contagieuse. Un an après la publication de [...]


Elle va nue la liberté


2013-03-08 21:55:21
Auteur : Maram al-Masri Édition bilingue Parution : le 2 mai 2013 Le mot de l’éditrice : Maram al-Masri est l’exilée d’un pays-blessure qui saigne en elle. Petite mère d’orphelins. Funambule toujours sur le fil entre tristesse et espérance. Je l’ai vue se vêtir du drapeau de son pays, [...]


Du 9 au 31 mars 2013 : 6e Biennale de la Poésie


2013-03-04 20:24:26
Présence des poètes et artistes de la Lune bleue : - Le lundi 18 mars à 19h : Lancement officiel de la 6e Biennale de la Poésie/Poètes du Monde avec Cécile Oumhani, Gérard Noiret, Hervé Martin, Maggy de Coster, Lydia … Continuer la lecture


Du 9 au 31 mars 2013 : 6e Biennale de la Poésie


2013-03-04 20:24:26
Présence des poètes et artistes de la Lune bleue : - Le lundi 18 mars à 19h : Lancement officiel de la 6e Biennale de la Poésie/Poètes du Monde avec Cécile Oumhani, Gérard Noiret, Hervé Martin, Maggy de Coster, Lydia … Continuer la lecture →


Voyage au bout des doigts – 6e Biennale de la Poésie


2013-03-04 19:47:41
Dans le cadre de la 6e Biennale de la Poésie/ Poètes du monde et du 15e Printemps des Poètes, la Lune bleue sera à l’honneur à travers différentes manifestations : - Le lundi 18 mars à 19h : lors du … Continuer la lecture


Voyage au bout des doigts – 6e Biennale de la Poésie


2013-03-04 19:47:41
Dans le cadre de la 6e Biennale de la Poésie/ Poètes du monde et du 15e Printemps des Poètes, la Lune bleue sera à l’honneur à travers différentes manifestations : - Le lundi 18 mars à 19h : lors du … Continuer la lecture →


La Pierre et le Sel se met en congés


2013-03-04 07:00:00
La Pierre et le Sel ne paraîtra pas durant deux semaines afin de se ressourcer. Prochaine parution le lundi 18 mars 2013


Yvon Le Men | une vie en poésie


2013-03-01 07:06:06
Les étoiles accrochent des prénoms aux branches des pommiers Les vergers défient les plus belles couleurs des grandes peintures. Nous sommes les créateurs de la glaise. Les formes cavalent les rêves à la poursuite de la réalité. Ce moment où je t’ai approchée de travers À cause de l’ouragan, Et le cyclone emportait nos paniers à provisions. Cours vite petit homme aux jambes de géant Aux paroles d’or qui enrichissent la pauvreté apparente des blouses. La poésie est l’orfèvrerie des...


Actu-poème


2013-02-28 12:57:01
Stéphane Hessel est décédé dans la nuit du 26 au 27 février 2013 à l’âge de quatre-vingt-quinze ans. Né en Allemagne, il a été naturalisé français en 1937. Normalien, résistant dans les forces françaises libres, déporté à Buchenwald, diplomate auprès des Nations unies, il était homme de gauche, proche de Mendès-France et de Michel Rocard. Il s’est fait récemment connaître du grand public pour ses prises de position concernant les droits de l’homme, le problème des « sans-papiers » et...


Revue Paysages écrits


2013-02-28 10:21:20
Revue de littérature et de poésie actuelles en ligne ouverte aux arts visuels (photographie, peinture, dessin, etc.) et à la réflexion sous toutes ses formes. Des contributions extérieures sont attendues.See it on Scoop.it, via Revues


 
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